On met aussi en place les « trains de plaisir » à prix réduits pendant la saison d'été : plaisirs populaires de promenades à Gourmalon ou à La Noëveillard, des courses, des régates ou de la Saint-Gilles, sans oublier de fréquenter cafés et restaurants et d'apprécier la dernière revue au casino du Môle. On comprend dès lors que ce nouveau tourisme va à la fois doper l'économie de Pornic et lui conférer un aspect plus « classe moyenne » ; toute proportion gardée d'ailleurs, car seuls des gens aisés pouvaient prétendre construire des résidences secondaires dans les nouveaux lotissements des Grandes Vallées ou de Gourmalon.
Le train est devenu le moyen de transport collectif idéal. Il continuera sur sa lancée et en 1906 on pourra, avec des billets « bains de mer », partir de Pornic et visiter toutes les plages jusqu'à Saint-Brévin-l'Océan.